Elisnora Sil' Obyal

.::Votre Personnage::.

Nom : Sil' Obyal

Prénom : Elisnora

Age : 17 ans

Race : Dessinatrice

Physique : Pourvue d’un visage fin à la peau blanche comme neige, Elisnora est une personne de très propre en soi, cela se confirme à l’éclat de ses cheveux noir corbeau harmonisés par de magnifiques reflets cuivrés. Ils sont ondulés et coulent le long de la silhouette de ses hanches. Ses yeux verts émeraudes ne sont que le reflet de sa personnalité naturelle qui vise à être en communion avec la nature et les animaux. Ses lèvres fines sont pour la plupart du temps assemblée, car converser n’est pas la chose qu’elle fait le plus souvent. Son corps à été magnifiquement sculpté à un détail près, lui donnant une silhouette modèle et privilégiant ses capacités étonnantes. Ses gestes sont précis, agiles et déliés. Ses vêts sont sommaires : une longue tunique vert émeraude retenue à la poitrine par une fibule de jaspe en forme de feuille de saule lui permettant d’effectuer d’amples mouvements en cas de nécessité. Ses cheveux sont retenues par une tiare fleurie et son visage est caché par un masque aux formes et aux couleurs envoûtantes.

Caractère : D’un naturel calme, Elisnora réfléchie toujours avant d’agir, choisissant toujours l’option qui lui serait la plus favorable à elle et aux autres individus. Bienveillante et Généreuse, elle n’hésite jamais à offrir ses biens aux plus pauvres selon ses possibilités afin de les sortir de la carence. Elle à passée beaucoup de temps à observer les êtres vivants, qu’ils soient de race humaine ou animale, elle peut ainsi prévoir la plupart des réactions et peut-être même en provoquer certaines. Douce et taciturne, elle ne s’ouvre aux individus que si elle l’entend mais confie tous ses secrets aux animaux qui l’entourent et à la nature qui est sa plus proche amie. Il est difficile de faire céder Elisnora par le chantage, elle s’est toujours débrouillée comme elle le pouvait dans ce monde déchiré par les guerres. Elle ne fait de mal aux autres êtres-vivants que si c’est nécessaire, préférant de loin la voie de la diplomatie. Elle est une personne très discrète, passant très facilement inaperçue, cependant, lorsqu’elle se met à converser, elle se transforme en une créature pleine de charisme que les individus écoutent avec respect. Se mêlant peu à la société, elle préfère vivre en forêt, ou dans des endroits peu peuplés afin d’entretenir une étroite communion avec la nature. En soi, elle est une jeune fille pensive, contemplative et philosophe, la solitude est l’une de ses meilleure alliée et c’est souvent avec elle qu’elle se ressource. Les conflits l’indispose, et, n’aimant pas l’injustice, elle à prit l’habitude de prendre parti pour celui ou celle qu’elle juge plus juste que l’autre, réglant ainsi de nombreuses oppositions. Elle ne se range jamais aux cotés des rebelles, sauf si leur cause rejoint la sienne.

Histoire :

« Les créateurs Lenwë et Fëlala, engendrèrent de leur pensée les Ainur (« les bénis »), avant que toute chose ne soit créée. Puis ils les rassemblèrent et leur insufflèrent une musique merveilleuse qu’il leur demandèrent de chanter. Au fil des âges, les voix de ses esprits quasi angéliques se mêlèrent dans une magnifique harmonie, la Grande Musique, qui donna naissance à Eä, l’univers. Chaque Ainur avait sa mélodie particulière, et c’est ainsi qu’ils formèrent Menel (les cieux) et Arda (la terre). Au cœur de cette merveille appelée l’existence se trouvait la Flamme Inextinguible, source de vie.
Malheureusement, l’innocence et l’unité furent brisées dès l’origine des choses. L’un des plus grands Ainur, Angrod, chercha à prendre une plus grande part dans le thème musical, et chanta selon ses désirs, créant une dissonance. Son désir de manipuler la Flamme de Vie et de faire prévaloir sa propre vision fut l’origine du Mal. »

Le professeur d’histoire du château stoppa son récit un court instant, afin de s’assurer de l’attention que lui portait la petite Elisnora qui, avide de savoir, ne perdait pas une miette du récit de son instructeur. Ravi de constater que la jeune Princesse lui portait une si grande attention, il toussota et reprit avec grande joie ce qu’il avait débuté.

« La plupart des Ainur restèrent aux cotés de Lenwë et Fëlala, mais certains d’entres eux choisirent de se rendre sur Eä pour veiller au développement harmonieux de l’Ainulindalë et préparer Arda, la Terre, à la venue de ses enfants : les Elfes et les hommes … D’autres, comme Angrod, vinrent pour corrompre la création, et conquérir ou détruire la lumière. L’histoire d’Arda commença donc dans le chaos, les Ainur construisant, Angrod détruisant … Le Noir Ennemi fut finalement mit en déroute, et dut s’enfuir dans les Ténèbres Extérieurs.
Avec le départ d’Angrod, les Ainur furent enfin libres d’apaiser le tumulte du monde et d’ordonner les terres. Ils construisirent deux lampes immenses au Nord et au Sud pour éclairer les terres, Illuin et Ormal. Leurs piliers furent les montagnes les plus hautes de tous les temps.
Loin dans le nord, là où la lumière d’Illuin ne parvenait pas à toucher la terre, Angrod revint secrètement et construisit une grande citadelle noire : Utumno. De là, il frappa les deux lampes, jetant leurs piliers à bas. Si grandes fut leur chute que les terres se brisèrent, et que le domaine des Ainur fut détruit. C’est à cette époque que se forma Alavahé telle que nous la connaissons aujourd’hui. Les Ainur franchirent le Grand Océan de Saphir pour s’établir dans le pays béni d’Aman. Depuis leurs terres protégées par de hautes montagnes, ils continuèrent leur ouvrage, mais ils ne revinrent que très rarement sur Alavahé. Durant leur absence, la puissance d’Angrod s’étendit … »

La petite Elisnora, captivée par le récit de son professeur, commença à rêvasser des Terres Bénites d’Aman, là où résidaient certainement encore et toujours les Ainur, aussi appelés « les bénis » ou les « dieux » à l’époque actuelle. Enfin, curieuse comme elle l’était à cet âge là, elle commença à se poser des questions qu’elle ne se garda pas de poser à son professeur.

« Mais Erü, qui sont exactement les Ainurs ? »

Le grand homme qui s’était installé confortablement dans le fauteuil en velours qui se situait en face de la cheminée afficha un sourire joyeux, offrant ainsi la vue de ses dents aussi blanches que de l’ivoire. Il s’était attendue à une si grande curiosité de la part de la petite Princesse d’Alavahé qui, âgée de neuf printemps, envisageait déjà de partir sur les routes qui serpentaient le monde, accompagné de sa monture qui n’était encore qu’un poulain.

« Patience mon enfant, j’y venais ! Les douze plus grands Ainur qui choisirent d’entrer dans Eä pour accomplir la vision de Lenwë et Fëlala sont appelés « les bénis » ou « les dieux ». A l’origine, purs esprits, ils adoptèrent sur Eä de majestueuses formes physiques, d’une grande beauté.
Fenlagun est le plus noble des Ainur, le plus puissant et le plus cher au cœur de Lenwë et Fëlala. Il règne sur l’air, le vent et les nuages, et protège les oiseaux. Roi et seigneur des Ainur, il dirige leurs conseils, confirme leurs actions et bénit leurs œuvres.
Amphytrion, seigneur des océans, gouverne les mouvements de l’eau, depuis les vagues de la mer jusqu’aux gouttes de rosée.
Ragnarök est le maître de l’artisanat et de la connaissance de la matière. Il est aussi le maître de la terre.
Méphistophélès est le maître du destin, et garde la maison des morts ; connaissant le devenir de la Grande Musique, ils prononce ses jugements à la demande de Fenlagun.
Sithis, règne, quand à elle, sur les visions et les rêves.
Aurora est la dame du deuil, et allège les souffrances par sa compassion ; ses larmes apportent la guérison … »

Le vieil homme cessa de conter son récit : voyant que la jeune petite Princesse s’était endormie, il ne servait à rien de continuer. Il valait mieux la laisser se reposer et reporter les cours au lendemain. Sereinement, il apporta la couverture de velours et la déposa avec douceur sur le frêle corps de la petite fille endormie avant de quitter la pièce …


Six années plus tard …

La jeune Princesse d’Alavahé déambulait dans les nombreux et sinueux couloirs du château de la famille royale. Ce qu’elle cherchait ? Les écuries. Bien entendu, elle savait où ces dernières se trouvaient, on pouvait donc plutôt affirmer qu’elle s’y rendait d’un pas léger et d’une humeur guillerette. C’était aujourd’hui qu’elle avait décidée de se rendre chez l’Analyste de la capitale afin de faire analyser son don. Elle savait qu’elle allait devoir argumenter, car, généralement, le don ne se manifestait qu’a partir d’un certain âge mature. Hors, la jeune Elisnora n’avait que quinze printemps. Elle était pourtant persuadée d’avoir réussi à pénétrer les sinuosités des chemins parcourant l’Imagination. C’est pour cela qu’elle avait pris le soin d’emporter une bourse de pièces d’or qu’elle avait dérobée dans les appartements royaux de sa mère. Elle comptait aussi sur le fait qu’elle est assez d’assurance et de persuasion afin de pouvoir convaincre aisément l’analyste de la capitale de lui faire passer le test. Tout cela aurait été tellement plus facile si elle avait emporté avec elle son diadème … Son titre de Princesse aurait sûrement joué en sa faveur. Malheureusement, elle ne pouvait pas prendre ce risque : ces temps-ci, les mercenaires du chaos engagés par des politiciens malveillants sillonnaient les rues de la capitale. Leurs proies ? La famille royale. Si ils découvraient que la petite fille du dit Roi d’Alavahé traînait dans les rues, ils n’hésiteraient pas à la prendre en otage afin de s’approprier le Royaume. Elle se devait donc d’être discrète …

Arrivée à l’écurie, elle se dirigea vers le compartiment réservé à sa jument et ouvrit ce dernier d’un geste rapide de la main. Elle afficha ensuite un large sourire en observant sa jument la scruter de ses yeux d’un bleu océan. Cette dernière faisait partie de la plus belle race de chevaux d’Alavahé, que l’on ne trouvait que dans les territoires du grand Nord. Forts, rapides et intelligents, ils avaient une robe grise ou blanche et vivaient environs quatre-vingt ans. Réfléchissant à toute vitesse, elle décida de ne pas sceller sa jument et d’y monter à crue, afin de gagner plus de temps.
Après quelques minutes de réflexion, elle monta sur sa monture et partit au galop en direction des portes massives du château qu’elle franchit sans peine. Enfin, après s’être arrêtée afin de rabattre son sombre capuchon, elle repartis au galop vers la grande place de la ville, à la recherche de l’Analyste de la capitale …

Alignement : Bon

Don ou pouvoirs souhaités : Lorsqu’elle fut examinée par l’Analyste de son village, la jeune Elisnora n’avait que 15 printemps. En effet, le don s’est manifesté tôt chez la jeune Princesse d’Alavahé. Sa surprise fut grande lorsqu’elle découvrit les résultats du test : un grand cercle aussi noir que du basalte prenant toute la place de la feuille d’analyse. Ce résultat était une preuve non négligeable du pouvoir d’Elisnora : la jeune Princesse était en mesure de parcourir les plus hauts chemins des spires, ces sinueux sentiers traversant l’ensemble de l’Imagination.

Rôle dans votre clan souhaité : Elisnora est la jeune fille héritière du Roi et de la Reine des Alavahiens, entre autre, elle est aussi une jeune Maître Dessinatrice très douée.

Code : Validé

.::Vous::.

Age : 13 ans

Comment avez vous découvert ce forum ? Via des amis sur msn =]

Que pensez vous de ce forum ? Je le trouve très bien, mais le design pourrait être personalisé =]

Bon début de présentation !! Et bienvenue !!

Bienvenue parmis nous
Et merci à tes amis

bienvenue parmis nous

Bienvenue

Bon début de présentation, mais il n'y a pas de maitre dessinateur. Il y a dessinateur tout court et analyste, ce qui n'est pas pareille. Pour le poste de princesse, il n'y a aucun problème =)
J'attend que tu termine pour te valider

Bienvenue =)

Fiche Validée =)

bienvenue !!

Bienvenue à toi !
^^

Bienvenue