Mes poêmes et proverbes

Bon voila....j'était en cours, en trance pratiquement , et j'ai pondu ça, passant par dessus les factorisations et les développement (xD).

Voici le premier

Un vent qui souffle
N'est pas forcement silence
Ainsi, là, sur mon balcon
Je l'écoute m'emmener tes mots
Qu'il me porte
Et les yeux rivés vers l'inconnu, l'infini
Le coeurs bercé de tes paroles, mélangées à mes regrets,
J'essai de percevoir ton oppaque, fantomatique
Ton eternelle silhouette;
S'éloignant eternelleement au loin.
J'espere alors que l'avenir deviendra un ami
Lui si longtemp triste, invisible, invincible
Lui si longtemp fort et vaiqueur
Lui jusqu'alors ennemi
Ennemi s'alliant au passé
Lui aussi méprisant, aussi inefaçable que sera l'avenir
Lui aussi ennemi
Car le passé s'implante en moi etme tourmente
Ne me laissant de toi que d'eternelle souvenir
Âcres comme mes regret au triste goût ameres
Ne me laissant qu'un sentiment de vide
Ne me laissant pas dans tes bras
Ne te laissat pas à moi.

voila pour le premier. De qui je parle....aucune idée (au alors très vague).

La vie est peut- être une fausse amie
Peut-être est elle une ennemie
Une ennemie au visage de porcelaine, représentant une fausse beauté
Un masque cachant un visage verdâatre, laid, blessé et cicatrisée.
Son faux visage cache ses haillons.
Ainsi ma vie me suit comme un ombre.
Ne l'est elle pas?
Peut-être! Peut-être pas!
Elle cohabite un corp n'étant as sien
N'étant même plus mien.
Elle me tient avec ,douceur et force, par la main,
Et me mêne à mon amie, son opposé,
La mort...
Peut-être est-ce elle ma véritable amie.
Avec son doux visage, souriant, bienveisant, accueillant et serein.
Un joyeux sourire contraire d'elle même.
Elle m'attent, bras ouvert
Prête à m'accueillir dans son monde, ma fin.
Un monde doux.
Après une cohabitation forcée, non désirée
Peut-être trouverai-je ce que l'on nomme paix et liberté.
Je ne veux plus de cette paix superficielle et irréelle, De cette fausse liberté, masque d'emprisonnement
Je veux de cette paix, celle liberté
Vivantes en la mort
Réelle et désirée
La mort peut-être plus vivante que la vie elle même.
Et je m'en rapproche
jours après jours,
Avec hête, Sans savoir si elle vient, si elle s'éloigne
Sans savoir où elle est.
Je la veux et la désire
Je n'en a pas peur;
Pas comme jai peur de la vie.
La vie que j'aurai aimé comme elle m'aura aimée
Comme un amour m'ayant rendu aveugle
Me mettant en confiance
M'empêchant de voir ses pièges.

Voila pour le deuxieme....je sais c'est byzarre comme ...pennsé mais c'est ce que je pense.

Qu'en dites vous?

Ce sont de très beaux poèmes. J'aime beaucoup le deuxième.

Bravo.

Bravo ! J'aime beaucoup de deuxième aussi ^^

Je ne partage pas l'avis du deuxième, mais c'est tout de même splendide. Bravo !!

Je trouve magnifique , surtout le deuxième ...Franchement j'adore !!

Je pense savoir de qui tu parle dans le premier, mais en tout cas, tu es douée pour les poémes, c'est indéniable =)

J'aime bien le deuxième, bien que ce ne soit pas non plus ma vision des choses ^^

Nombre de messages : 10 Camp : Neutre Date d'inscription : 06/09/2008

Voila encore un poeme

Lorsque tu te regarde dans le miroire
Ce n'est pas vraiment toi que tu aperçoit
Dans se reflet d'ambre.
Non, en faite
Tu te vois sans te voir
Tu vois se que tu veux voir.
Tu vois un faux refet;
Pourtant vrai.
Un toi virtuel,
Réel et irréel.
Tu te veux beau,
Tu te vois beau
En ne l'êtant pas,
Voyant toute tes impurtés, imperfections.
Qu'essais tu de fuire?
Qui?
Mais regarde tes yeuxx,
Vert, bleux, gris ou marron,
Quelque soit leur couleur, Regarde les.
Regarde toi.
Tes yeux sont la seule vrai
La seule et l'unique
L'etternelle et innefaçable, Image de toi.
Car le miroire te renvoitt
Ce que tu veux voir.

Il est trop beau, j'adore *o*

C'est... magnifique!
J'aime beaucoup! Très réussit bravo ! =D

Yahou !!! Bravo c'est magnifique !!

Aller deux autre

La honte...
Qu'est-elle,
A part une éternelle ombre?
Elle nous suit,
Plus silencieuse que le silence de lui même
Imprévisible, parfois drôle
Elle te saute dessus,
Sans que tu ne puisse l'éviter.
Mais la honte n'est qu'une image.
Image de quoi?
Une image de ce que l'on fait
Il est faux qu'n ne peux l'éviter.
Lorsqu'elle te saute dessus,
Passe, envole-toi, vol au dessus d'ekke.
Et ris
Oh ris
Ris avec elle
Ris contre elle.
Moque toi d'elle et de toi.
Elle se taira la première.
Tu l'auras dégoutée et vaincue
Tu pensera surement
"C'est drôle, c'est comique, c'est bête"
Mais la honte pensera
A ce que tu ne pense pas
Elle pensera que
Tu aura fait honte à la honte.

Allez voila l'autre

Suivre les rayons du soleil?
Peut-être mais pourquoi?
Aller vers l'inconnu?
Lui physiquement infini.
Revenir de là où je viens?
Oui mais pourquoi?
Pour savoir qui je suis?
Mais je connais mon identité Ne suis-je pas un inconnu?
Une inconnu prmis tant d'autre.
Ne suis-je pas un grain de sable?
Un grain entouré de grains
Comme moi
Nos sommes tous un plage infini
Dont nous sommes des grain de sable.
Il y en a des plus gros et des plus petit.
Mais tous nous sommes insignifiants.
Si insignifiants et si importants.
Importants pour le système tourbillonant
Nous entrainant à lui,
Le système où nous vions
A l'inss de notre plein gré.
Important, car on a plus de chance
Que certains
Importants car on a le pouvoir
Oui!
On a le pouvoir de les aider
Pourtant on ne le fait pas
Du moin pas tout le temp.
Mais, si ça se trouve c'est là
Notre mission.
Unique et principale?
De les aider pour que,
Quand viendra leur tour,
Notre tour,
Ils nous aident.
On ne s'appartient pas à soi même,
On s'appartient mutuellement.

J'adore tes poèmes, t'es trop douée ! x)

J'aime beaucoup aissu les 3 que tu as rajouté !
Bravo !

Très original, j'adore. Les miens ne suivent pas vos méthodes, et sont peut-être moins beuax, mais je les met quand même (sujet: espoir et désespoir):

Espoir de vie

Félin indomptable surgi de la nuit
Dont les points lumineux effacent le noir
Et accompagnent cette forme qui luit,
Reflet de lutte contre le désespoir.

Tu traverses la ville à enjambées fluides,
Silencieuse et imperceptible pour eux,
Ceux que tu éclaires par ces temps humides
Où l'eau pure et triste s'écoulent des yeux.

Tu ravives leurs cendres en de vives flammes
Que tu élèves aux yeux de ces pauvres âmes
Pour les guider vers la lumière et l'envie ;

Une envie de lever les yeux vers les cieux
Pour te voir adresser un signe d'adieu
Et partir rallumer des espoirs de vie.

Et un deuxième...

Large ou rivage

Quand la chaine enserre le cœur
Et que la vie perd tout son sens,
Quand ressurgit en moi l’enfance
Du monde où mon âme se meurt,
Alors d’un coup l’espoir se tait,
S’enfuyant au fond de ces mers
Peuplées par l’ombre, et sans lumière,
Dont les marrées ont tout noyé.

Pour ces moments où en émoi
Je m’enfuis à ton arrivée,
Détournant mes yeux déprimés
Quand les tiens se posent sur moi;
Aussi, pour tous mes regards noirs,
Ces fois où je te détestais,
Mais pourtant sans jamais cesser
De porter en toi mes espoirs.

Pour les jours où je ne sais plus,
Où je ne peux plus te comprendre,
Quand tu laissais mon cœur en cendres
Noyant tous mes espoirs déçus;
Pour mes coups bas, mes désespoirs,
Quand je voulais tout arrêter,
Tirer un trait et t’oublier,
Enfin te mettre dans le noir.

Quand la chaine s’éloigne au loin,
Disparaissant à l’horizon,
Quand, Père de mes sanglots longs,
Tu te renfouis dans le lointain
Alors l’espoir s’en va au large,
Avec toi qui enfin me laisse,
En prenant peines qui me blessent,
Mais aussi joies loin du rivage.

J'AAADDDOOORRREEE tout les poèmes étant sur ce sujet autant ce de Kamira que se de Yasmina ! Même si ils sont très différents !!