III - À la porte de Cheylindhal [Topic fermé].

Yasmina passa la porte, devancée par Ventus. Au premier abord, le jeune humain observa l'architecture des lieux. Les corps de garde étaient construits en grosses briques de granit. Une haute arche joignait les deux extrémités du rempart et encadrait la porte. Celle-ci se composait de deux lourds battants renforcés de métal et reliés au mur par d’énormes gonds. Une chaîne partait de chaque battant et disparaissait dans un trou du mur au niveau des tours de garde, laissant deviner un système mécanique de fermeture.
Ventus marchait sur le pavé lisse et regardait la multitude de gens entrant et sortant de la ville. Il se stoppa et se retourna vers son guide.

- Je vous remercie infiniment de votre aide. Mais je souhaite à présent continuer ma route tout seul. J’espère que nous aurons l’occasion de nous rencontrer de nouveau.

Sur ces mots, il tendit la main à la Marchombre.

HS: tu ne devrais peut-être pas mettre de PV sur ce topic, laisse-le libre, qui sait, tu feras peut-être d'autres connaissances...

//Yasmina serra la main que lui tendait Ventus.//

- Très bien, alors bonne continuation, dit-elle. Et sois prudant, surtout. Alavahe est un monde dangereux plein de surprises. Alors, ne te laisse pas trop surprendre.

//Puis elle recula, lui adressa un dernier signe d'adieu et s'en alla, se mêlant à la foule dense qui circulait en tout sens.//

[Hors jeu : oui je sais ^^ mais là je restais avec toi tranquillement jusqu'à Cheylindhal]

Yasmina Léostren disparut dans la foule. Ventus était livré à lui même. Mais il l'avait voulu ainsi. Alors qu'il était dans les plaines il avait ressenti l'arrivée en ce monde de la Troisième. Il ignorait que Doloxel se trouvait lui aussi en Alavahé mais savait qu'il n'était pas seul.
D'après ce que Yasmina lui avait dit, Cheylindhal comportait un grand parc. Il avait décidé de s'y rendre pour en apprendre plus et se reposer. Il entra dans la ville et ouvrit son esprit. Des centaines d'informations saturèrent sa conscience. Mais peu à peu, il parvint à les contenir, à les ordonner, jusqu'à ce qu'elles coulent en lui de manière calme et régulière.