L'Evangile selon Satan [de Patrick Granham]

Titre : L’Evangile selon Satan

Auteur : Patrick Graham

Nombre de page : 659

Taille de l'écriture (grande, petite, moyenne) : Entre petite et moyenne

Résumé (quatriéme page de couverture) : 1349, année de la grande peste noire, couvent des Augustines de Bolzano. Entrée en possession d'un Evangile apocryphe, Mère Yseult de Trente, la supérieure, s'emmure vivante avec le manuscrit pour échapper au massacre de sa congrégation par un moine démoniaque. Le tueur crucifie ses victimes et porte les signes des adorateurs du Diable. 2006, Hattiesburg, Maine. Rachel, l'assistante du shérif du comté, enquête sur la disparition de quatre jeunes serveuses. Elle disparaît à son tour. Marie Parks, profileuse au FBI qui possède des dons de médium et s'est spécialisée dans la traque des cross-killers est chargée d'enquêter sur la disparition de Rachel. Elle retrouve son corps torturé et la dépouille des quatre disparues crucifiées dans une crypte. Quelques jours plus tard, au Vatican, le cardinal Oscar Camano, patron de la Congrégation des miracles, apprend que les quatre jeunes femmes assassinées sont les religieuses qu'il avait envoyées aux Etats-Unis pour enquêter sur la vague de meurtres qui frappent l'ordre des Recluses, un ordre très ancien chargé depuis le Moyen Age de protéger et d'étudier les manuscrits interdits de la chrétienté. Il confie au meilleur de ses exorcistes, le père jésuite Carzo, le soin de retrouver la trace de cet Evangile. L'enquête de Parks et celle de Carzo vont se croiser et les mener des Rocheuses jusqu'au couvent de Bolzano et à la bibliothèque secrète du Vatican. Que contient cet Evangile de si dangereux pour l'Eglise ?

Votre avis : Magnifique livre, un suspense qui tient jusqu’au bout, ce livre vous entraine de mots en mots, de lignes en lignes de pages en pages comme aspiré par une entité supérieure…
Patrick Graham, parvient a travers se livre a nous faire douter sur les dires de l’église de sa création a aujourd’hui, un chef d’œuvre dans le genre thriller, les plus grands fans seront ravis, comme ceux qui commencent… Les scènes sont magnifiquement décrite, l’univers sombre, glauque et maléfique, se fait ressentir jusque dans le monde réel, âmes sensibles s’abstenir…

Image de la couverture :